Recitaiton de la sourate complete avec tajwid par cheikh al-Hussayri
2/ الحَمْدُ لِلَّهِ رَبِّ العَالَمِينَ 2/ Al hamdou lIllahi Rabbi al 3aalamii 2/ Louange à Dieu le Seigneur des mondes 2/ Louange à Dieu, le Maître de l'Univers,
3/ الرَّحْمَانِ الرَّحِيمِ 3/ ar-Rahmaan(i) Ar-Rahiim(i) 3/ Le Tout Misericordieux le Très Misericordieux 3/ le Clément, le Miséricordieux,
4 / مَالِكِ يَومِ الدِّينِ 4 / Maliki yaoumi d-diin(i) 4/ maître du jour de la religion 4/ le Souverain du jour du Jugement dernier
5/ إيَّاكَ نَعْبُدُ وَ إيَّاكَ نَسْتَعِينُ 5/ iyaaka na3boudou woua iyaaka nasta3in(ou) 5/ à Toi nous adorons et à Toi nous implorons secours 5/ c'est Toi que nous adorons! C'est Toi dont nous implorons le secours !
6/ اهْدِنَا الصِّرَاطَالْمُسْتَقِيمَ 6/ ihdina ṣiraṭa al moustaqim(a) 6/ guide nous (dans) le chemin droit 6/ Guide-nous dans la Voie droite;
7/ صِّرَاطَ الَّذِينَ أَنْعَمْتَ عَلَيْهِمْ غَيْرِ الْمَغْضُوبِ عَلَيْهِمْ و لاَ الضَّآلِّيِنَ 7/ ṣiraṭa al-laẕina an3amta 3aleihim ghaïri al-maghḍoubi 3aleihimwoua la ḍaaallin(a) 7/ le chemin de ceux (que) de merveilles sur eux (tu as comblé) non pas (de ceux qui) (Ta) colère sur eux (ont encouru) et non (pas)des égarés 7/ la voie de ceux que Tu as comblé de bienfaits, non celle de ceux qui ont mérité Ta colère ni celle des égarés
Sourate |- Le Prologue mecquoise; 7 versets On l'appelle ainsi parce que c'est par elle que commence la récitation dans les prières. Appelée la Mère du Livre, elle a encore d'autres noms, entre autres la sourate de la louange, la sourate de la guérison, la Prémunissante, la Suffisante, le Fondement du Coran. Selon al-Bukhâry, elle est appelée la Mère du Coran, grâce à son écriture au début de la transcription du Coran et à sa récitation au début des prières. Selon at-Tabary, les Arabes appellent "mère" toute chose qui rassemble ou qui est à l'avant. Ainsi, selon eux, la peau qui maintient le cerveau est appelée "la mère de la tête", le drapeau de l'armée sous lequel les troupes se rassemblent est aussi appelée "la mère". Selon Abu Hurayra, le Prophète (prières et salut de Dieu sur lui) a dit, à propos de la Mère du Livre : «Elle est la Mère du Livre ; elle est les Sept répétés ; elle est le Coran sublime. » Quelques avis sur les mérites du Prologue Abu Sa'id b. al-Mu'allà : J'étais en train de prier, quand l'Envoyé (prières et salut de Dieu sur lui) m'a appelé. Je ne lui ai répondu qu'après avoir terminé la prière. Alors, je suis allé à lui «Qu'est-ce qui t'a empêché de venir à moi ? m'a-t-il dit. - O Envoyé de Dieu, j'étais en train de prier, ai-je dit. Dieu le Transcendant ne dit-Il pas "Vous qui croyez, répondez positivement à Dieu et à l'Envoyé, quand il vous appelle à ce qui vous donne la vie", a-t-il dit. Je vais t'apprendre la plus sublime sourate du Coran, avant de sortir de la mosquée. » Puis, il m'a pris par la main et quand il a décidé de sortir de la mosquée, je lui ai dit : «O Envoyé de Dieu, tu m'as dit que tu allais m'apprendre la plus sublime sourate du Coran. Oui, (c'est la) Louange à Dieu, Maître des univers. Elle est les Sept répétés, le Coran sublime que j'ai reçu. » Selon Ubay b. Ka'b, l'Envoyé (prières et salut de Dieu sur lui) a dit : «Dieu n'a pas fait descendre dans la Torah et dans l'Evangile d'équivalent à la Mère du Livre; elle est les Sept répétés et "elle est répartie en deux moitiés entre Moi et Mon adorateur."» Abu Sa'id al-Khudry : Lors d'un déplacement, quand nous nous sommes arrêtés, une servante est arrivée et a dit : «Le seigneur de la tribu souffre d'une morsure et nos hommes sont absents ! Y a-t-il parmi vous un exorciste ? » Alors, un homme l'a accompagnée ? Un homme que nous ne soupçonnions pas de magie. Il a exorcisé le mal, rétablissant ainsi le seigneur. Celui-ci ordonna trente brebis au profit de notre compagnon et nous abreuva de lait. Et, lorsque nous nous sommes retirés, nous lui avons dit : «Est-ce que tu savais t'y prendre ou est-ce que tu étais en train d'exorciser ? __ Que non ! a-t-il dit, je n'ai fait qu'exorciser par la Mère du Livre. » Nous nous sommes alors dit : «N'inventez rien jusqu'à ce que nous interrogions (à. dessus) l'Envoyé de Dieu(prières et salut de Dieu sur lui). » A notre retour à Médine, nous en avons fait le récit au Prophète (prières et salut de Dieu sur lui) et il a alors dit : «Et qu'est-ce qui lui fait croire qu'elle est une magie ? Faites-en la répartition et laissez-moi une part. » Ibn Abbâs : Pendant que l'Envoyé (prières et salut de Dieu sur lui) recevait Gabriel (salut sur lui), il entendit un bruit au dessus. Alors Gabriel (salut sur lui) leva son regard vers le ciel et dit : «C'est une porte qui vient de sortir dans le ciel. Elle n'avait jamais été ouverte auparavant. » Un ange en était donc descendu et était allé au Prophète (prières et salut de Dieu sur lui), pour lui dire : « Sois heureux des deux lumières qui te viennent d'être transmises. Elles ne l'ont pas été à aucun prophète avant toi. Ce sont le Prologue du Livre et les Epilogues de la Vache...» Selon Abu Hurayra, le Prophète (prières et salut de Dieu sur lui) a dit : «Celui qui fait une prière sans récitation de la Mère du Coran, elle est avortée, avortée, avortée, incomplète. » Alors, on dit à Abu Hurayra : «Même si nous sommes derrière l'imam. » Ce qui fit dire à Abu Furayra : «Récite-la dans ton for intérieur. J'ai entendu l'Envoyé (prières et salut de Dieu sur lui) dire : " Dieu a dit : J'ai réparti la prière en deux moitiés entre Moi et Mon adorateur; à Mon adorateur ce qu'il demande. Si l'adorateur dit Louange à Dieu, Maître des univers, Dieu dit : Mon adorateur M'a louangé, et quand il dit le Tout miséricorde, le Miséricordieux, Dieu dit : Mon adorateur M'a loué, et quand il dit Roi du jour de la rétribution, Il dit : Mon adorateur M'a glorifié, et quand il dit C'est Toi que nous adorons, Toi de qui le secours implorons, Dieu dit : C'est cela qu'il y a entre Moi et Mon adorateur; à Mon adorateur ce qu'il demande, et quand il dit Guide-nous sur la voie de rectitude, la voie de ceux que tu as gratifiés, non pas (celle) des réprouvés, non plus que de ceux qui s'égarent, Dieu dit : Cela est pour Mon adorateur; à Mon adorateur ce qu'il demande." » Des avis propres à ce hadith spécifique au Prologue 1. Il y est donné le terme de "prière", pour désigner la récitation, comme dans : N'énonce pas ta prière à voix trop forte, non plus qu'assourdie, Donc, Dieu signale la grande importance de la récitation dans la prière, qui est en effet le plus grand de ses piliers. Le terme de "récitation" y est donné : il se prend dans le sens de "prière", comme dans la récitation du Coran à l'aube, 2. Il y a divergence sur une question qui peut se formuler ainsi : En prière, est-ce qu'il y a prescription du Prologue ou bien y a-t-il autre chose qui peut suffire ? Comme réponse à cette question, il existe deux avis célèbres. a) Pour Abu Hanifa et ses partisans, le Prologue n'est pas prescrit : au contraire, ce qui est récité du Coran sullit. Pour ce faire, ils se réfèrent à la généralité de Done récitez ce que vous pouvez faire aisément du Coran, et au hadith concernant la personne qui n'accomplit pas bien sa prière, et où le Prophète (prières et salut de Dieu sur lui) a dit : «Puis récite du Coran ce qui est disponible à toi. » Donc, Le Prophète (prières et salut de Dieu sur lui) ordonne à l'adorateur de réciter ce qui lui est disponible, sans lui déterminer le Prologue. b) Le deuxième avis, qui est celui de Malik, Ahmad et ach-Châf'y, prescrit la récitation du Prologue. Pour eux, la prière ne s'accomplit pas sans le Prologue. En cela, ils prennent pour argument le hadith qui dit que la prière « est avortée », celui qui dit qu'il n'y a « pas de prière pour qui ne récite pas avec le Prologue du Livre », et celui qui dit que « n'est pas sultisante la prière dans laquelle on ne récite pas avec la Mère du Livre». 3.Une question : L'orant dirigé dans la prière doit-il faire la récitation du Prologue ? Cette question suscite trois avis. Le premier, qui s'appuie sur l'ensemble des hadiths précédents, dit que l'orant dirigé doit le réciter comme l'imam. Le second avis pense que l'orant n'est pas obligé du tout de le réciter, ni à voix haute ni dans son for intérieur, en raison de ce hadith : «Celui qui a devant lui un imam, la récitation de celui- ci est pour lui une récitation. » Le troisième avis voit que l'orant dirigé doit réciter le Prologue dans son for intérieur mais pas à voix haute, en raison de ce hadith : «L'imam a été institué pour être suivi. Quand il lance le tekbir vous lancez le tekbir et quand il récite vous écoutez. » L'exégèse de l'action de chercher refuge auprès de Dieu Voici des versets : Si quelque agacerie vient de Satan t'agacer, cherche en Dieu refuge : Il est Entendant, Connaissant; Dis : «Maître, en Toi soit mon refuge contre les pressions des satans, en Toi soit mon refuge contre leur approche même. »; ou alors te démange une démoniaque démangeaison : dans ce cas réfugie-toi auprès Dieu : Il est l'Entendant, le Connaissant. Ce sont là trois versets qui n'ont pas de quatrième équivalent dans la signification. Ainsi donc, Dieu recommande d'entourer l'ennemi d'entre les humains de prévenances et de bienfaisances, afin de repousser son humeur et gagner son alliance et sa cordialité. Cependant, Il ordonne de chercher refuge auprès de Lui contre l'ennemi du genre humain (Satan), parce que ce dernier n'accepte ni prévenance ni bienfaisance. Cet ennemi ne veut que la perte du fils d'Adam : Satan vous est ennemi. Traitez-le en ennemi ; Le prendrez-vous, lui et sa descendance, comme protecteurs au lieu de Moi, quand ils vous sont ennemis ? Satan a juré devant Adam et lui a menti. Comment donc en serait-il de son attitude en vers nous, alors qu'il a jadis dit Alors, par ta Toute-Puissance ! puissé-je tous les fourvoyer ? En outre, des récitants s'appuient sur l'apparence du contexte du verset pour dire : «On recherche refuge après la récitation. » Cependant, l'avis le plus connu auprès des savants consiste en ce que la recherche du refuge contre Satan intervient avant la récitation, pour repousser le tentateur. La signification du seg. Quand tu veux réciter le Coran est : "Si tu veux réciter le Coran", à l'exemple du seg. si vous vous mettez en devoir de prier, alors rincez-vous... qui veut dire : "Quand vous voulez vous lever (pour la prière). " La preuve réside en ce qui rapporté du Prophète (prières et salut de Dieu sur lui). En effet, quand celui-ci se levait la nuit pour la prière, il ouvrait sa prière par le tekbir et la louange puis disait : «Mon refuge soit Dieu l'Entendant, le Connaissant contre Satan le lapidé, contre sa tentation, son insufflation, son soufle. » La parole Mon refuge soit Dieu contre Satan le lapidé se récite pour que ce dernier ne nous fasse pas de mal dans notre foi ou dans notre vie de l'ici-bas, de nous empêcher de faire ce dont nous avons reçu l'ordre. Parce qu'il n'y a que Dieu qui peut le détourner de l'homme. Le satan, dans la langue arabe, est celui qui, par sa perversion, se place à l'écart de tout bien : c'est pourquoi on appelle ainsi tout rebelle djinn, humain ou animal des satans d'entre les humains et les djinns.
Au nom de Dieu, le Tout miséricorde, le Miséricorde (1) * Louange à Dieu, Maître des univers (2) le Tout miséricorde, le Miséricordieux (3) le Roi du Jour de la rétribution (4) C'est Toi que nous adorons, Toi de qui le secours implorons (5) Guide-nous sur la voie de rectitude (6) la voie de ceux que Tu as gratifiés non (celle) des réprouvés, non plus que de ceux qui s'égarent (7) Le v. Au nom de Dieu, le Tout miséricorde, le Miséricordieux : l'Envoyé (g) ne savait la fin de la sourate que quand descendait sur lui Au nom de Dieu, le Tout miséricorde, le Miséricordieux (Ibn Abbâs). C'est avec ce verset que les compagnons ouvraient le Livre de Dieu. Donc, cela est recommandable au début de tout discours ou autre travail. A cet effet, il est rapporté que L'Envoyé (prières et salut de Dieu sur lui) a dit : «Toute chose qui ne commence pas avec Au nom de Dieu, le Tout miséricorde, le Miséricordieux est mutilée. » Par conséquent, cela est recommandable au début des ablutions, en raison de ce hadith : «Pas d'ablutions pour qui ne cite pas sur elles le nom de Dieu. », au début de l'égorgement, selon ach- Châfi*y (selon d'autres cela est obligatoire), au début du repas, en raison de ce hadith : «Dis Au nom de Dieu, mange avec la main droite ; mange de ce qui est à la portée de ta main ? », au début de l'acte sexuel, en raison de ce hadith : «Quand l'un d'entre vous veut commercer avec son épouse, si il dit au nom de Dieu ; Dieu, dévie de nous le diable, dévie le diable de ce que Tu nous attribues, et qu'ensuite un enfant leur est prédestiné, le diable ne peut jamais lui faire de mal. » Concernant le seg. Au nom de Dieu, des exégètes présupposent qu'il veut dire :" Au nom de Dieu est mon commencement en ..."; "Je commence au nom de Dieu; " J'ai commencé au nom de Dieu". Ces avis sont justes puisque tout acte doit avoir une origine. Le fondé dans tout cela est de citer le nom de Dieu au début de toute action, pour gagner Ses bénédictions, tirer bon augure, être assisté dans l'accomplissement des actions : Embarquez-y ! Au nom de Dieu navigation et mouillage !; Lis ! au nom de ton Maître qui créa. Dieu : C'est le nom du Maître, Béni et Transcendant. C'est, dit-on, le nom le plus sublime, du fait qu'on lui renvoie tous les attributs : Il est Dieu. Il n'est de dieu que Lui. Il est Celui qui connaît le mystère et la présence. Il est le Tout miséricorde, le Miséricordieux. En outre, Dieu considère attributs tous les noms qui restent : A Dieu appartiennent les noms les plus beaux ;Sous quelque nom que vous L'invoquiez, c'est Lui qui a les noms les plus beaux. Selon Abu Hurayra, le Prophète (prières et salut de Dieu sur lui) a dit : «Dieu a quatre-vingt-dix-neuf noms - cent moins un. Quiconque les énumère entrera au Jardin. » Dieu (Allah) est un nom propre à Dieu le Transcendant, parce qu'Il ne l'a pas employé pour désigner une autre personne. C'est Son nom immuable, fixe, selon l'avis d'un groupe de savants illustres. Ar-Râzy choisit l'idée disant que c'est un nom non dérivé. C'est là l'avis de la majorité des savants. Le Tout miséricorde, le Miséricordieux : Ce sont deux noms dérivés de la miséricorde, à figure d'hyperbole. Cependant, le "tout miséricorde" est plus intense en hyperbole que le "miséricordieux". Certains savants pensent que ces deux termes sont non dérivés. Al-Qurtuby rapporte ce hadith divin : «Je suis le Tout miséricorde ;J'ai créé la matrice (ar-rahim, en arabe) et J'en ai dérivé un nom de Mon nom….» Selon Ibn Jarir, le Tout miséricorde veut dire que Dieu l'est pour toutes les créatures ;le Miséricordieux veut dire que Dieu l'est seulement pour les croyants. C'est pourquoi il est dit le Tout miséricorde, sur Son Trône siégeant. Dieu cite donc le fait de siéger en citant Son nom (le Tout miséricorde), pour signifier qu'Il généralise Sa miséricorde sur toutes Ses créatures. Ailleurs Dieu dit Il est Miséricordieux aux croyants, pour distinguer les croyants, par Son nom (le Miséricordieux). Le nom "le Tout miséricorde" est exclusif à Dieu : Invoquez Dieu, ou bien invoquez le Tout miséricorde; avons-nous donné, hors le Tout miséricorde, des dieux à adorer ? En outre, il existe d'autres noms propres à Lui, par exemple le Créateur. Quant au terme de "miséricordieux", Dieu l'emploie, ainsi que d'autres (le tendre, le miséricordieux, l'entendant, le clairvoyant...), pour qualifier d'autres personnes. Le v. Louange à Dieu, Maître des univers exprime la reconnaissance totale pour Dieu seul qui octroie bienfaits innombrables à Ses adorateurs. A notre Maître donc la louange pour tout cela, en premier et en dernier lieu. Le seg. Louange à Dieu est aussi un éloge que Dieu fait à Lui-même. Et à travers cela, Il ordonne à Ses adorateurs de Le louer. C'est comme si Dieu nous recommande ceci : Dites Louange à Dieu. Ce que soutient Ibn Jarir mérite réflexion car cela est célèbre chez nombre de savants qui pensent que la louange est le fait de Le louer par Ses attributs inséparables et transitifs, et que la reconnaissance ne se fait qu'avec Ses attributs transitifs. Dans la Tradition, on trouve ces hadiths : «Le meilleur Rappel est il n'y a de dieu que Dieu, la meilleure invocation est la louange à Dieu. »; « O Maître, dit un adorateur, à Toi la louange comme il se doit, pour la majesté de Ta face et l'immensité de Ton pouvoir. » Cela posa problème aux deux anges et ne surent comment l'inscrire. Ils montèrent auprès de Dieu et Lui dirent : «Maître, un adorateur vient de dire un propos et nous ne savons comment l'inscrire. - Que vient de dire Mon adorateur ? demanda Dieu, qui sait cependant mieux que quiconque ce que Son adorateur venait de dire. - O Maître, dirent-ils, il a dit à Toi la louange comme il se doit, pour la majesté de Ta face et l'immensité de Ton pouvoir. Inscrivez cela comme Mon adorateur a dit. Quand il viendra à Ma rencontre, Je le récompenserai pour cela, dit Dieu. La louange à Dieu englobe tous les genres de louange destinés à Lui, à l'exemple de ce que dit le hadith suivant : «Dieu, à Toi la louange en entier; à Toi la royauté en entier; dans Ta main Tu détiens le bien en entier ; à Toi revient le décret en entier.» Le seg. Maître des univers : Pour le terme de "maître", il ne s'emploie en dehors de Dieu que si on lui ajoute un complément (le maître de maison). Quant au terme de "Maître", il ne se dit que pour Dieu. Concernant le terme des univers, c'est un pluriel désignant tout ce qui existe, sauf Dieu. Pour al-Farâ' et Abu Ubayd, le terme singulier d' univers désigne ceux qui raisonnent, c.-à-d. les humains, les djinns, les anges et les démons. Quant aux animaux, ils ne sont pas désignés par ce terme. Cependant, selon az-Zajjâj, ce terme désigne tout ce que Dieu a créé dans l'ici-bas et dans la vie dernière ; al-Qurtuby soutient ce avis en se référant au v. Moïse dit :«Le Maître des cieux et de la terre et de leur entre-deux, pour autant que vous soyez accessibles à la certitude. » Le v.le Tout miséricorde, le Miséricordieux, al-Qurtuby l'explicite comme suit : Dieu s'est décrit ainsi après avoir dit Maître des univers, pour faire coïncider le désir et la crainte : Informe Mes adorateurs que c'est Moi le Tout pardon, le Miséricordieux, et que Mon châtiment est le châtiment douloureux; Votre Maître est prompt dans la punition. Il est Tout pardon, Miséricordieux. Avec le terme le Maître, il y a la crainte ; avec les termes le Tout miséricorde et le Miséricordieux, il y a le désir. Le Prophète (prières et salut de Dieu sur lui) dit : «Si le croyant savait ce qu'il y a de punitions auprès de Dieu, aucun ne convoiterait Son Jardin ; si le dénégateur savait ce qu'il y a de miséricorde auprès de Dieu, aucun ne désespérerait de Sa miséricorde. » Le v.le Roi du Jour de la rétribution : Le terme roi vient du fait de posséder : C'est Nous qui hériterons de la terre et de tous ceux qu'il y a sur elle, et c'est à Nous que de tous il sera fait retour. Ce terme dérive du terme royauté : A qui, ce Jour-là, la royauté ? ;la royauté de Vérité, ce Jour-là, est au Tout miséricorde. Le fait de lier la royauté au Jour de la rétribution ne nie rien d'autre, puisque le verset précédent dit que Dieu estle Maître des univers. Mais Il a ajouté la royauté au Jour de la rétribution, pour que personne ne prétende là-bas à quelque chose et ne parle sans Sa permission : car en ce Jour, l'esprit et les anges debout en lignes ne parleront que sur l'autorisation du Tout miséricorde, et à charge de pertinence ;Le Jour où il vient, nulle âme n'ose parler qu'Il ne l'y autorise. Selon Ibn Abbâs, le Jour de la rétribution est le Jour des comptes pour les créés. En ce Jour, Dieu rétribuera chacun d'eux selon ses œuvres : qui aura fait du bien aura du bien; qui aura fait du mal aura du mal, excepté celui à qui Il pardonnera. En vérité, le Roi est Dieu le Transcendant. Quant à l'appellation donnée aux monarques des pays, elle n'est que d'un emploi métaphorique. Dans les çahihs, l'Envoyé (prières et salut de Dieu sur lui) dit : «Dieu saisira la terre puis pliera le ciel avec Sa main droite. Ensuite Il dira :"C'est Moi le Roi ! où sont les rois de la terre ?"» La rétribution : c'est la rémunération et le jugement : nous sommes vraiment rétribués ?, c.-à-d. sanctionnés, jugés. Dans la Tradition : «L'éveillé est celui qui juge sa personne et œuvre pour ce qui est après la mort. » Le v. C'est Toi que nous adorons, Toi de qui le secours implorons : Pour l'adoration, c'est ce qui réunit la plénitude de l'amour, de la soumission et de la crainte. Le v. signifie donc : Nous n'adorons que Toi et nous ne nous en remettons qu'à Toi. Et c'est là la plénitude de l'obéissance. La religion réside dans sa totalité en ces deux sens, le premier étant de s'innocenter de l'associance, le second d'avouer son incapacité et de s'en remettre à Dieu : Adore-Le. Remets-t'en à Lui; Il est le Tout miséricorde. Nous croyons en Lui. Nous Lui faisons confiance Dans le texte coranique, le discours passe d'un niveau à un autre direct. En effet, après avoir loué Dieu, c'est comme si l'adorateur se rapproche et est présent de Lui : C'est Toi que nous adorons, Toi de qui le secours implorons Le seg. C'est Toi que nous adorons devance le seg. Toi de qui le secours implorons, pour montrer que c'est l'adoration qui est visée. L'imploration du secours en est un moyen, le principe étant de mettre le plus important en premier lieu. Et puis, qu'en est-il de la signification du "nous" ? Si le "nous" désigne un pluriel, l'invocateur est par contre un. Le "nous", ici, désigne le genre des adorateurs. L'orant, qui est un individu, qu'il soit au milieu d'un groupe ou imam, informe sur sa propre personne et sur ses frères croyants de l'adoration pour laquelle ils ont été créés. De plus, il intercède pour quelque bien en leur faveur. L'honorabilité de la place occupée par l'adorateur est confirmée, puisque Dieu désigne Son Envoyé (prières et salut de Dieu sur lui) par le terme "adorateur" et qu'Il dit Louange à Dieu qui a fait descendre sur Son adorateur le Livre : Et pourtant dès que l'adorateur de Dieu se fut dressé pour L'invoquer; Transcendance de Celui qui fit aller de nuit, en un instant de la nuit, Son adorateur. Donc, Dieu lui a donné le nom d'adorateur, quand Il a fait descendre le Livre sur lui, quand celui-ci se dressa pour l'invocation et lors du Trajet nocturne. Le v. Guide-nous sur la voie de rectitude : Comme la louange est faite à Dieu, il devient alors convenable d'invoquer. C'est cela la parfaite des conditions pour celui qui demande : il louange Dieu puis Lui demande ce dont il a besoin. Elle est la plus réussie pour ce dont on a besoin et la plus efficace pour la réponse. C'est pourquoi Dieu nous oriente à cela. La guidance, ici, signifie "la direction" et "la réussite". Quant à la voie de rectitude, c'est, dans le langage des Arabes, la voie claire qui n'a pas de virage ou de distorsion. Donc, ces derniers emploient le terme "voie" pour toute parole et toute action qualifiées de rectitude ou de distorsion. Par ailleurs, l'explicitation de la voie de rectitude donne des avis variés qui aboutissent à la même chose : c'est suivre Dieu et Son Envoyé (prières et salut de Dieu sur lui). Selon ces avis donc, la yoie de rectitude désigne le Livre de Dieu ; l'Islam; la religion de Dieu. Ibn al-Hanafiya; c'est la religion de Dieu ; Dieu n'accepte de Ses adorateurs aucune autre religion. Selon an-Nuwâs b. Sam'ân, le Prophète (prières et salut de Dieu sur lui) a dit : «Dieu a donné l'exemple ; celui d'une voie de rectitude. Sur les bords de la voie, deux murs ayant des portes ouvertes. Sur les portes, des rideaux pendants. Devant la porte de la voie, un invitant qui dit : " O gens, entrez tous dans la voie et ne louvoyez pas ! " Et un (autre) invitant au-dessus de la voie : si un homme veut ouvrir quelque chose de ces portes-là, il lui dit : " Malheur à toi ! ne l'ouvre pas ; si tu l'ouvres, tu t'y engouffres. "» Ainsi donc, la voie c'est l'Islam, les deux murs ce sont les normes de Dieu, les portes ouvertes ce sont les interdits de Dieu, l'invitant à l'entrée de la voie c'est le Livre de Dieu, l'autre invitant c'est le prêcheur de dieu dans le for intérieur de chaque Musulman. Si on demande comment le croyant demande la guidance en tout temps de prière alors qu'elle le distingue, la réponse sera ainsi : L'adorateur a en tout moment besoin de Dieu pour être maintenu, affermi dans la guidance : Vous qui croyez, croyez en Dieu et en Son Envoyé. Ce qui est visé par cela c'est la constance et 16 Sourate 1-Le Prologue l'assiduité dans les œuvres déterminées à cet effet. Le seg la voie de ceux que Tu as gratinés est l'explicitation de la voie de rectituda Quant aux gratifies, ce sont ceux qui ont été cités dans ce v. car obéir à Dieu et à son, Enraye, c est rejoindre ceux que Dieu a gratifiés i prophictes, hommes de vérite, martyrs et justifiés. Oh? la compagnie excellente. Selon Ion Abbas, ceux que aj gratifies sont ceux que Dieu a gratifies d'obéissance et d'adoration, cirà-d. les anges, les prophètes, les hommes véridiques, les chahids et les saints. Selon Ar-Rabio, Anas, ce sont seulement les prophètes. Selon Ibn Jurayj et Mujähid, ce sont les croyants. Mais l'exégèse d'Ibn Abbàs est plus globale, plus générale. Le seg. non (celle) des réprouvés, non plus que de ceux qui s'égarent, qui est coordonné au précédent, veut dire : Guide-nous sur la voie de rectitude de ceux que Tu as gratifiès, c.-à-d. les définis précédemment, non sur la voie des réprouvés qui connaissent la Vérité mais s'en détournent, non plus sur la voie des égarés qui ont perdu la connaissance, se démènent dans l'errance sans pouvoir bien se guider, c.-à-d. la voie des Juifs et celle des Chrétiens. La voie des croyants englobe aussi bien la connaissance de la Vérité que le fait de se conformer à elle. Les Juifs ont perdu cette conformité et les Chrétiens cette connaissance. C'est pourquoi les premiers sont frappés de réprobation et les seconds atteints d'égarement : Celui que Dieu maudit, fit encourir Sa colère ; Ne suivez pas les passions d'un peuple qui jadis s'est égaré, en égara d'autres en grand nombre et perdit le droit chemin. En outre, il est rapporté que 'Ady b. Hâtim a dit : «J'ai interrogé l'Envoyé (prières et salut de Dieu sur lui) sur ce verset et il m'a dit : " non (celle) des réprouvés : ce sont les Juifs ; non plus que de ceux qui s'égarent : ce sont les Chrétiens. "» Enfin, il est préférable à celui qui récite le Prologue de conclure par âmin qui signifie : "Dieu, donne Ton assentiment". Selon Abu Hurayra, « quand l'Envoyé (prières et salut de Dieu sur lui) terminait par non (celle) des réprouvés, non plus que de ceux qui s'égarent, il disait âmin, si bien que la première rangée (d'orants) l'entendait. » Peut-il y avoir mieux que la gratitude reçue de Dieu (ceux que Tu as gratifiés) ? Evidemment, Dieu est Lui seul qui détient la guidance et l'égarement : Quiconque Dieu égare, ne trouvera point de guide. Les tenants de la prédestination se trompent quand ils disent que les adorateurs choisissent eux-mêmes leur voie. Ils défendent cette nouveauté en prenant pour prétexte les versets non péremptoires (mutachâbihât), tout en ignorant les versets péremptoires qui sont clairs, parfaitement compréhensibles. Retour vers la sourate.
بِ (bi): prefix signifiant avec ou par comme ici par le nom de Dieu. اسم(asm[i]) : nom. la terminaison en "i" marque le cas du complement d'objet indirect, systhématique apres la particule (bi=avec) sens probables : avec le nom de/ au nom de/ par le nom de. إلاهِ/ Allahi/de Dieu لِلَّهِ ; lIllahi; à Dieu
source personnelle : الله al-Lah signifie mot à mot: La Divinité, Le Dieu ce qui sous entend, La Seule Divinité, Le Seul Dieu. il semble que la racine soit أل\ إل (AL/IL) Selon le dictionnaire Larousse, à la racine n°188 إلَه (Ilah) : divinité, Dieu. إلَهَة (Ilahat) : déesse. إلَاهيّ (Ilaahyi) : divin, atributs divins. Selon le dictionnaire des racines sémitiques de David Cohen fasciule 1 page 19 : varation n°7 de la racine : أل\ إل (AL/IL) prend le sens de "dieu, divinité" en akadien et en araméen (il ou el). en cananéen, la racine se trouve selon les inscription sous la forme 'lh أ ل ه de meme qu'en thamoudéen et en araméen. En hebreux sous la forme é'loha. en judéo-palestinien et en subarabique sous la forme 'elha أ ل ها en babylonien sous la forme 'elah لله en ougaritique, il se retrouve sous la forme 'lhm أ لهم plusieur masculin et e'lht ألهة au pluriel feminin. en syriaque et en mandéeen sous la forme 'alaha ألها ou alaha الها Enfin, en arabe, la lanque du Coran, la racine apparait avec un ه (h) final ainsi sous la forme 'ilah إلَه Selon cette même source, la racine ALH أ ل ه n'existe qu'en arabe et ne sert pas de base à la formation de إلَه (Ilah) ou الله (Al-Lah), elle n'est a chercher exclusivement que dans la racine à deux lettre إل\أل (Al/Il) en effet, cette racine a le sens "d'être troublé, décontenancé" et "de chercher refuge" (page 20 du même fascicule). Retour vers le verset.
v. رَحِمَ (RaHima) : avoir un sentiment de compassion رَحَّمَ (RaHHama): avoir pitié, compassion pour qqn رَحُمَ(RaHouma) : avoir mal à l'utérus / mourir après ses couches n. رَحِم (RaHima) : sein, siège de conception, matrice / cognation / utérus, organe de l'appaeil génital de la femme et des mammifères femelles رَحْم (RaHoum): parenté, affinité / utérus / relation de sanguinité, relation de parenté , affinité, ressemblance entre deux espèces ou deux groupes رَحْماء (RaHma'a): charité, bienveillance, clémence, merci, miséricorde رَحْمَان (RaHmaan): Le Très Miséricordieux: Celui qui a une immense miséricorde pour les croyants et les mécréants ici-bas et spécialement pour les croyants dans l'autre monde. / Ar-Rahman: attribut de Dieu, Le Tout Miséricordieux رَحْمَة (RaHmat) : charité, bienveillance, clémence, indulgence, merci, miséricorde, pitié, compréhension رُحْمَى (RouHma): bienveillance, clémence, indulgence, merci, miséricorde رَحِيم(RaHiim) : le Clément, attribut de Dieu, Le Tout Miséricordieux: dont l'Infinie Miséricorde va exclusivement aux croyants رَحِم(RaHim) : relation de parenté, cognation, consanguinité, parenté رَحْماء (RaHma a): charité, bonté,miséricorde,pitié / bienveillance, disposition favorable envers qqn / clémence, disposition qui porte à épargner un coupable ou à atténuer son châtiment / merci, miséricorde, pitié qui pousse à pardonner un coupable مَرْحَمَة(RaHmat) : clémence, disposition qui porte à épargner un coupable ou à atténuer son châtiment adj. / adv. رَحَمُوت(RaHamouut) : vaste, grande, large clémence رَحُوم (RaHouum): humain, charitable, clément, compatissant, miséricordieux رَحِيم (RaHiim): humain, charitable, clément, compatissant, miséricordieux مَرْحُوم (MarHouum): défunt / qui fait l'objet de la pitié de Dieu source : -www.coran-seul.com/index.php/home-2?l=ra&racine=RaHHaMa Retour vers le verset.
v. حَمَّدَ ḥammada : louer/ bénir حَمِدَ ḥamida: louer / agréer quelqu'un, être satisfait de n. حَمْد ḥamd: compliment, félicitations, louange أحمد aḥmad: prénom, signifiant "louangé" n. p. مُحَمَّد mouḥamad: Mohamed, le dernier prophète. adj. حَمِيد ḥamiid: bénin / qui loue / louable, méritoire / le Glorieux Suprême (en parlant de Dieu) مُحَمَّد ḥamda: louable, méritoire مَحْمُود maḥmoud : bon, accepté, agrée, exaucé, admis / louable, méritoire coran-seul.com, lien veres la page du site racine n°1361 du dictionaire larousse : حَمِدَ ḥamida : louer qqn/qqc ; être satisfait de ; approuver ; rendre grâce à. حَمْدَ ḥamda : approbation ; louange ; éloge ; action de grâce. مَحْمُود maḥmoud : louable, digne d'éloge ; loué مْحَمَّد mouḥammad : comblé/digne d'éloge/de louange ; loué ; أَحْمَدَ aḥmada : être/se montrer digne d'éloges ; plaire ; mériter l'approbation racine ḥ m d page 878 fascicule 9 1. ougaritique : ḥmd -> convoiter, desirer cananéen et phénicien : ḥmd et ḥamad en hébreux : ḥamad -> désirer, tendre à ; prendre du plaisir à araméen et judéo-palestinien : ḥamad -> désirer soqotri ḥémed -> aimer. 2. arabe : ḥamida, en subarabique et en sabéen : ḥmd puis en mehri : ḥèmoud, haymèd -> remercier louer. en jibbali : ḥod, en ḥassaniyya : shḥemod -> remercier. arabe , subarabique, mehri, hassaniyya, jibbali : ḥamd -> louage 3. arabe : ḥamida -> être fâché. 4. éthiopien et guéze : ḥamada, tigré : ḥamda, tigrina : ḥemmäday, harari : hamaday, amharique : amäday, gafat : amadag, gouragué : amädar -> givre, neige. 5. tna : ḥamâd -> terre, sable, cendre, poussières ; ḥamoday -> gris. 6. arabe : iḥtamada -> être intense (chaleur) arabe : ḥamadat -> bruit du feu Retour vers le verset 2.
point grammaire : le mot fini par une kasra, une voyelle "i" qui marque les cas des complèments d'objets indirect Il ne porte pas l'arcticle car il s'agit du premier terme de l'annexion, rendant le cas du génétif en arabe, le cas de l'appartenance, le premier terme appratenant au second. Ici il est le premier, il est definit car le second terme l'est pour les deux. expr. رُبَّ roubba : peut-être v. رَبَّ rabba : commander / inclure, cumuler, rassembler, bloquer / éduquer / croître, grandir رَبَّبَ rabbaba : éduquer, élever n. رُبّ roubb : marmelade رَبّ rabb : maître, capitaine, leader, seigneur, supérieur, boss / propriétaire / divinité de la mythologie رَبّ rabb : Attribut de Dieu, Le Seigneur رِبَاب rabaab : accord, entente, transaction, pacte, convention / amis, alliés, compagnons / groupes de dix رَبَّاب rabbaab : groupe, foule رِبَابَة ribaabat : pacte, alliance, accord, entente, transaction / autorité, influence, ascendant, pouvoir, maîtrise / tas des flèches / étui de flèches, carquois رَبَب rabab : eau abondante, copieuse, foisonnante / eau douce, fraîche, agréable au goût رَبَّة rabbat : déesse / propriétaire / dame, femme, madame رِبَّة ribbat : foule nombreuse / caroubier / nombre immense رُبَّاب roubbaab : capitaine de vaisseau / pilote d'avion / batelier / pilote automatique / la plupart, la majeure partie / commencement, début de la jeunesse, adolescence مَرَبّ marabb : lieu de résidence / lieu de réunion / homme qui rassemble le peuple مِرْبَاب mirbaab : terrain couvert d'une riche végétation adj. / adv. رَبَّانِيّ rabbaaniy : dominical, céleste racine n°1970 du dictionnaire Larousse رَبَّ rabba : être chef, exercer l'autorité/ le pouvoir, avoir contrôle de رَبّ rabb : maître, seigneur, patron, chef, Dieu. أَرْبَاب arbaarb : grands de ce monde, notables. رَبَّة rabbat : dame, maîtresse. رُبَّاب roubbaab : capitaine, pilote. Retour vers le verset 2.
point grammaire : ال/ El signifie en français le/la/les. c'est l'article definie uniqe en arabe. Il defini par la même le mot précédent (jour), car il est le second terme de l'annexion marquant le génétif en arabe, la relation d'appartenance, le premier terme appartenant au second. ينَ est un suffixe marquant un pluriel Il defini par la même le mot précédent (jour), car il est le second terme de l'annexion marquant le génétif en arabe, la relation d'appartenance, le premier terme appartenant au second. la lettre 3aine ع sera exceptionnelement representé pour ces definitions par * v. عَلَّمَ *alma: marquer, repérer / civiliser, éduquer, enseigner, initier, instruire, former, apprendre, professer عَلِمَ *alima : connaître, savoir / savoir avec certitude, connaître / connaître parfaitement / avoir la lèvre supérieure fendue عَلَمَ *alama : marquer, distinguer par une marque / fendre la lèvre / surpasser en connaissances عَلْمَنَ *almana : laïciser, séculariser n. عِلْم *ilm: instruction, acquis, cognition, connaissance, érudition, savoir, science عَلَم *alam : symbole, devise, insigne, symptôme / maître, chef / jalon, balise, repère / pavillon, bannière, drapeau, étendard / personnage distinguée, connue عَلْم *alm : univers, ensemble des choses crées عُلَمَاء *oulamaa'a : savants, doctes علْمانِيَّة *almaaniyyat : laïcisation, laïcisme, laïcité عَلْمَنَة *almanat : laïcisation, laïcisme, laïcité عِلْمِيَّة *ilmiyyat : scientisme عَليم *aliim : érudit عَليم *almiim : attribut de Dieu, Le Très Savant, l’Omniscient, aucune chose, créature ou pensée n'échappe à Sa connaissance عَلاَّم *allaam : érudit, savant عُلاَم *oulaam : grand épervier / faucon عَلاَمَة *alaamat : indice, repère, signal, signe, symbole, témoignage, insigne, symptôme, témoin, trait, icône, attribut / marque / symptômes عَلاَّمَة *allaamat : grand savant, érudit, docteur docte personne مَعْلُومَات ma*loumaat : donnée, hypothèse, mention / renseignements, informations, nouvelles مَعْلُومَاتية ma*lououmaatiyat : informatique مَعْلُومَة ma*lououmat : renseignement, information مَعْلَم ma*lim : jalon, balise, repère, mont joie, amer مُعْلِم mou*lim : indicateur, informateur, messager, annonciateur مُعَلِّم mou*llim : enseignant, initiateur, instituteur, instructeur, pédagogue, prof مَعْلَمَة ma*lamat : informatisation adj. / adv. عَلْمَانِيّ *almaaniy : séculier, profane, laïque عِلْمِيّ *ilmiy: scientifique أَعْلَم 'a*lam : plus savant, plus instruit عُلاَمِيّ *oulaamiy : doué d'un esprit vif, de sagacité مَعْلُوم ma*loum : fixé مَعْلُومَة ma*lououmat: connu مُعَلَّم mou*allam : enseigné / coté expr. عَلَى عِلْمٍ بـِ *alaa *ilm bi : être au courant de عَلَى مَا أَعْلَم *alla maa 'a*lam : que je sache coran-seul.com, lien veres la page du site Retour vers le verset 2.
point grammaire : le mot fini par une kasra, une voyelle "i" qui marque les cas des complèments d'objets indirect. il repond ici au verset précédent louange au Roi. v. مَلَكَ MALAKA: acquérir, avoir, posséder / s'emparer de / posséder, être propriétaire de مَلَّكَ MALLAKA: mettre quelqu'un en possession de quelque chose / prendre quelqu'un pour roi / céder, léguer, laisser / donner à quelqu'un une femme pour épouse تَمَلَّكَ TAMALLAKA: acquérir, avoir, posséder n. مَلَك MALAK : ange, chérubin مُلْك MOULK : propriété / biens, possession / force, souveraineté, pouvoir, loi, commandement مَلِك MALIK : monarque, roi, souverain / possesseur, détenteur مِلْك MILK : possession مَلَكَة MALAKAT : don, sens, faculté, talent, verve, veine مَلِكَة MALIKAT : reine / reine des abeilles مَلَكُوت MALAKOUT : création, cosmos, monde, univers, macrocosme, terre / pompe, éclat de la royauté / monarchie, royauté, royalisme مَلَكِيَّة MALAKIYAT : monarchie, royauté, royalisme مِلْكِيَّة MILKIYAT : propriété تَمَلُّك TAMALLOUK: acquisition / maîtrise مَمْلَكَة MAMLAKAT : royaume, monarchie مَالِك MAALIK : propriétaire, régnant مَالِك MAALIK : Attribut de Dieu : Le Souverain, le Roi: Celui qui règne sans partage, dont le domaine est absent d'imperfections مَلاَّك MALLAAK : propriétaire مِلاَك MILAAK : personnel d'une administration / essentiel, base de quelque chose adj. / adv. مِلْكِي MILKIY: mien, à moi مَلَكِيّ MALAKIY: royal, monarchique / monarchiste / légitimiste مُلُوكِيّ MOULOUKIY: royal تَمَلُّكِيّ TAMALLIK: possessif مُمَلَّك MOUMALLIK: aliéné مَمْلُوك MAMLOUOUK: possédé, propriété de / esclave مَلِيك MALIYK: monarque, possédant, propriétaire / monarque, roi, souverain -Source: coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 4.
point grammaire : le mot fini par une kasra, une voyelle "i" qui marque les cas des complèments d'objets indirect. ici, le roi DU jour, jour est un complement d'objet indirect. Il ne porte pas l'arcticle car il s'agit du premier terme de l'annexion, rendant le cas du génétif en arabe, le cas de l'appartenance, le premier terme appratenant au second. Ici il est le premier. Retour vers le verset 4 pour revoir le mot suivant. v. يَوَمَ YAOUMA: Exister/se trouver dans le jour / passer un jour ou des jours / Contracter avec quelqu'un un engagement par jours ou à la journée n. يَوْم YAOUM: journée, jour / temps يَوْم YAOUM : journée de 24 heures, synonyme de "نَهَار" qui lui gnifie jour sous le rapport dé la clarté Dans les pays arabe la journée se compte du coucher du soleil jusqu'au coucher de soleil suivant Une journée "yawm"/"يَوْم" comporte la nuit "layl"/"لَيْل" qui est l'absence de clarté du soleil, et le jour "nahar"/"نَهَار" qui représente tout le temps où la clarté du jour soleil est présente dans l'atmosphère يَوْمَئِذٍ MAOUMA'ẕin: en ce temps / à ce momnt là يَوْمَذَاكَ YAWMAẕAK: en ce temps يَوْمِيَّة YAWMITTAT: rétribution journalière, salaire journalier adj. / adv. يَوْمِيّ YAWMIY: journalier, quotidien coran-seul.com, lien veres la page du site Retour vers le verset 4.
point grammaire : ال/ El signifie en français le/la/les. c'est l'article definie uniqe en arabe. Il defini par la même le mot précédent (jour), car il est le second terme de l'annexion marquant le génétif en arabe, la relation d'appartenance, le premier terme appartenant au second. ici "le jour" apparteint à "religion" donc le jour de la religion si l'on peut se permettre cette traduction litterale. v. دِيْنَ DYNA: Forcer, contraindre, obliger à / Être maître, Être possesseur, Être propriétaire ou prince ou roi ou souverain / rétribuer, rendre à quelqu'un son dû / Juger quelqu'un, prononcer une sentence دَيَّنَ DAYYANA : créditer, prêter دَايَنَ DAAYANA : créditer, prêter / intenter un procès n. دَيْن DAYN : dette, créance دِين DIYN : ferveur, dévotion, piété / doctrine, religion, credo, foi, conviction, croyance / art de vivre, finalité, coutûme, habitude, manière d'agir / Victoire مَدِين MADIYN : débiteur, emprunteur, endetté, redevable مُدِين MOUDIYN : créditeur, créancier مَدْيُون MADYOUOUN: débiteur, emprunteur, endetté, redevable مَدْيُونِيَّة MADYOUOUNIYYAT : dettes, obligations دَيَّان DAYYAAN : Souverain Juge, Dieu / juge, magistrat / gouverneur دِيَانَة DIYAANAT : doctrine, religion, credo, foi, conviction, croyance adj. / adv. دَيِّن DAYYIN : croyant, dévot, fervent, pieux وصف تَقِيّ، وَرِع expr. يَوْمُ الدِّين YAOUMOU AD-DIYN : le jour du Jugement dernier, le jour de la Rétribution Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 4.
point grammaire : le k ك à la fin de iya إيا est un suffixe qui renvoie à la deuxieme personne masculin du singulier. En arabe le non-genré est transcrit au masculin comme en français. adv. إيا 'iyaa : seulement .../ c'est... إياي 'iyaï : seulement moi / c'est moi qui إياك 'iyak : seulement toi / c'est toi qui إياه 'iyah : seulement lui / c'est lui qui إياها 'iyaha : seulement elle / c'est elle qui إياهم 'iyahoum : seulement eux / ce sont eux qui etc...etc... Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 5.
point grammaire : le prefixe "na" "نَ" marque dans la conjugaison arabe la premeire personne du pluriel au present. la fin en "ou" "وا" marque le pluriel, et confirme le present simple. la lettre 3aine ع sera exceptionnelement representé pour ces definitions par * v. عَبَّدَ *abbada : asservir, soumettre عَبِدَ *abida : regretter, se repentir / dédaigner, mépriser quelqu'un / être avare de quelque chose / se cramponner à quelque chose / s'irriter, s'emporter, se fâcher عَبُدَ *abouda : être esclave de souche عَبَدَ *abada : adorer, rendre un culte أَعْبَدَ 'a*bada : asservir n. عَبْد *abd : ser, esclave / homme, individu عَبَدَة *abdat : adorateur, dévot / continuité, durée / force, puissance / grosseur, obésité عِبَاد *ibaad : humanité, genre humain عِبَادَة *ibadat : adoration, culte, dévotion adj. / adv. عَبِد *abid : cupide, avide / galeux عَبْدِيّ *abdiy : servile expr. عِبَادُ اللَّه *ibaadou-llah : serviteurs de Dieu / gens de Dieu Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 5.
point grammaire : le prefixe "na" "نَ" marque dans la conjugaison arabe la premeire personne du pluriel au present. la fin en "ou" "وا" marque le pluriel, et confirme le present simple. la lettre 3aine ع sera exceptionnelement representé pour ces definitions par * Racine : ع و ن / * ou N v. عَوَّنَ *awana : aider, assister, collaborer, concourir, coopérer, épauler, seconder, secourir, soutenir, subvenir, supporter, favoriser عَانَ *aan : être d'un âge moyen إِسْتَعَانَ 'ista*aana : demander secours, demander assistance n. عَوْن *awn : aide, second, auxiliaire, adjoint, assesseur, assistant, adjoint, secourable, encouragement عَوْن *awn : aide, renfort, secours, service, main-forte, synergie, viatique, support, assistance, concours مَعُونَة ma*ounat : aide, secours, main-forte, viatique, support, assistance / libéralités, allocation مُعَاوَنَة ma*ounat: subvention / aide, mutualité, secours, service, main-forte, synergie, viatique, support, assistance, concours, secours, collaboration إِسْتَعَانَة 'ist*aanat : demande de secours, d'assistance adj. / adv. مُعَاوِن mou*aawin : aide, second, auxiliaire, adjoint, assesseur, assistant, adjoint, collaborateur, coopérant, coopérateur, secourable Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 5.
point grammaire : le ا /i est ici le préfix de l'imperatif de la deuxieme personne du singulier et le "na" "نَا" de la fin est le suffixe renvoyant vers la première personne du pluriel (fais nous, ici guide nous) Racine : ه د ي / h d y v. هَدَى hadaa : convertir, guider هادَى haadaa: s'adresser mutuellement des cadeaux أَهْدَى 'ahdaa : accorder, donner, fournir, offrir, présenter اِهْتَدَى ihtadaa : être sur le bon chemin / se convertir / précéder les autres chevaux / attirer n. هُدًى houdan : aiguillage, guidage, endoctrinement / voie droite هَدْي hadyi : manière, façon, conduite / guidage, balisage, endoctrinement / offrande, sacrifice, victime هَدِيَّة hadiyat : offre يَهُود yahoud : la société juive / juifs, israélites يَهُودِيَّة yahoudiyyat : juive, israélite إِهْدَاء 'ihda'a : don اِهْتِدَاء ihtida'a : conversion, raison adj. / adv. يَهُودِيّ yahououdiyy : israélite, hébraïque, juif, youpin / juif, judaïque مُهْدًى mouhdan : offert, donné en cadeau مَهْدِيّ mahdiy : celui qui offert un cadeaux / judicieux, sensé مُهْتَدٍ mouhtadin : converti, guidé Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 6.
point grammaire : Il ne porte pas l'arcticle car il s'agit du premier terme de l'annexion, rendant le cas du génétif en arabe, le cas de l'appartenance, le premier terme appratenant au second. Ici, il est le premier. Retour vers le verset 6 pour revoir le mot suivant. Retour vers le verset 7 pour revoir le mot suivant. Racine : ص ر ط / ṣ r ṭ n. صِرَاط / صِرَط ṣiraṭ/ṣiraaṭ : chemin, route, rue, voie Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 6.
point grammaire : ال/ El signifie en français le/la/les. c'est l'article definie uniqe en arabe. Il defini par la même le mot précédent (الصِّرَاطَ / ṣiraṭa / le chemin), car il est le second terme de l'annexion marquant le génétif en arabe, la relation d'appartenance, le premier terme appartenant au second. ici ">الْمُسْتَقِيمَ /al moustaqim(a) / droit " apparteint à "الصِّرَاطَ / ṣiraṭa / chemin" donc le droit chemin si l'on peut se permettre cette traduction litterale. Racine :ق و م / q w m v. قَوَّمَ qawwama : expurger / retrancher d'un écrit ce que l'on juge contraire à la morale,aux convenances,etc. قَوَّمَ qawwama : réformer, changer en mieux, relever, amener à une meilleure position ce qui est en déclin / châtier, corriger ou rectifier, moraliser, réprimander قامَ qaama : démarrer / mettre en train, commencer قامَ qaama : pointer / se dresser verticalement, se tenir droit, se mettre debout أَقَامَ 'aqaama : implanter, installer quelque part et de façon durable / bâtir, élever une construction sur le sol, construire, édifier selon un plan, édifier / porter vers le haut, dresser, ériger / établir, fixer,installer dans un lieu,une position / instaurer / établir les bases de / instituer, établir qqch de nouveau / fonder / demeurer n. قَوْم qawm : nation, groupe humain assez vaste, peuple, ensemble d'hommes habitant sur un même territoire / public / la masse de la population قَوْم qawm: gens / groupe de familles se rattachant à un ancêtre commun et portant le même nom قَيِّم qayim : tuteur, personne chargée de veiller les biens d'un mineur / magasinier, celui qui garde les objets amenés en magasin قِيمَة qayimat : classe / valeur,qualité exceptionnelle / mérite, qualité estimable de qqn ou qqch / taux, prix fixé par une convention, valeur, importance,prix attaché à qqch قائِمَة qaa'imat : hampe, manche en bois, montant, pièce verticale dans un dispositif, poteau, longue pièce fichée verticalement en terre / pied, partie inférieure d'une chose élevée قائِمَة qaa'imat : catalogue, liste énumératrice, liste / suite de mots, de signes généralement inscrits les uns au-dessous des autres / bordereau / état détaillé d'articles, de pièces d'un dossier / index, liste alphabétique, répertoire / tables où les matières sont rangées dans un ordre, table, présentation méthodique sous forme de liste مُقَيِّم mouqayim: estimateur, personne qui fait une estimation / commissaire-priseur, officier ministériel chargé de l'estimation et de la vente dans la vente aux enchères publiques مَقَام maqaam : contexte, ensemble des conditions d'élocution d'un discours / occasion, circonstance qui vient à propos ou qui détermine une action مَقَام maqaam : emplacement, place,lieu occupé par qqch ou qui lui est réservé, endroit, lieu déterminé, endroit,place / local, pièce ,partie d'un bâtiment à destination déterminée / position, situation dans l'espace, situation, position , emplacement / site, lieu , position / centre, localité caractérisé par l'importance de sa population et son activité مَقَام maqaam: sanctuaire, lieu saint, marabout, tombeau d'un marabout مَقَام maqaam : rang, degré d'importance,de valeur / grade, degré dans la hiérarchie / prestige, ascendant qu'exerce qqn ou qqch, faveur / popularité que l'on a auprès de qqn مَقَام maqaam : mode / échelle à structure définie et caractérisée par la disposition de ses intervalles / ton, tonalité مُقَام mouqaam : séjour, fait de séjourner dans un lieu / lieu, endroit,place, position, situation dans l'espace / station, résidence, demeure habituelle dans un lieu déterminé قِيَامَة qiyaamat : résurrection, retour de la mort à la vie adj. / adv. مُسْتَقِيم moustaqym : direct / droit, sans détour, rectiligne / qui est ou qui a lieu en ligne droite / qui n'est pas courbe قَيِّم qayim : direct / droit, sans détour / loyal / conforme à la loi / qui n'est pas courbe قَيِّم qayim : précieux / de grand prix قائِم qaa'im : droit, qui se tient verticalement / brut, qui n'a pas subi certaines déductions de frais , etc قائِم qaa'im : perpendiculaire, se dit d'une droite orthogonale à une autre, vertical, droit, dressé, qui se tient verticalement قائِم qaa'am : actuel, qui existe dans le moment présent, existant, qui existe, présent, qui existe maintenant / sis, situé, se dit d'une ville, d'un édifice...par rapport aux environs قائِم qaa'im : levé, sorti du lit, debout مُقِيم mouqym : permanent, qui dure sans discontinuer, constant, qui dure et qui se répète sans modification مُقِيم mouqym : sédentaire, qui reste dans une région déterminée / habitant, personne qui vit en un lieu, résidant, se dit de qqn qui réside dans un lieu مُقَيَّم mouqayam : apprécié, éstimé, évalué Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 6.
point grammaire : ال/ El signifie en français le/la/les. c'est l'article definie uniqe en arabe. definition : - lesquels - représente qqn ou qqch dont on vient de parler - que - pronom relatif désignant une personne ou une chose - qui - pronom relatif désignant une personne ou une chose - ceux - renvoie à des personnes,à des choses masculin pluriel Source : almany.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 7.
point grammaire : le prefixe 'aأ et le suffixe ta تَ marquent la première personne du singulier au passé accompli. Racine : ن ع م n 3 m la lettre 3aine ع sera exceptionnelement representé pour ces definitions par * v. نَعَّمَ na**ama: adoucir / velouter نَعُمَ na*ouma: être doux au toucher نَعَمَ na*ama: jouir, vivre dans l'aisance / être aisée, facile, large, agréable أَنْعَمَ 'an*ama : donner, douer, gratifier, octroyer, pourvoir, doter نَاعَمَ naa*ama : mener une vie aisée, vivre dans l'aisance / rendre la vie aisée à quelqu'un / raffermir, consolider une corde n. نُعْم nou*m : confort, opulence, aisance, bien-être نَعَم na*am : bêtes, bestiaux, bétail / chameau نَعْمَاء na*maa': faveur, don, cadeau, offre, libéralités / bienfaisance نُعْمَان nou*maan : sang نَعْمَة na*mat : standing, confort, luxe, opulence, mieux-être, aisance, bien-être, abondance نِعْمَة ni*mat : faveur, don, bénédiction, grâce نُعْمَى nou*ma: richesse أَنْعَام 'an*aam : bêtes, bestiaux, bétail إِنْعَام 'in*aam : faveur نَعِيم na*iym : aisance / félicité, bien-être, bonheur نَاعِمَة naa*imat : sauge نَعَام / نَعَامَة na*aama/ na*aamat : autruche نُعَامَى nou*aama: vent de sud adj. / adv. نَاعِم naa*im: douillet, lisse, douxv prép. نَعَمْ na*am: oui, ouais, si expr. نِعْمَ ni*ma: bravo! très beau! combien est beau! / quel excellent ... Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 7.
la lettre 3aine ع sera exceptionnelement representé pour ces definitions par * point grammaire : Le suffixe هِمْ pronnoncé "him" renvoie à "eux" (la troisième personne du pluriel) La première partie de عَلَيْهِمْ est 3ala على qui veut dire "sur", "au dessus de" Notez le ى , il ressemble au ya ي mais sans les deux points (insdispenable pour un ya ي ). C'est un alif final, car en effet il ne se trouve qu'a la fin des mots , il s'appel alif maqsura الف مقصورة en arabe, un a raccourcie mot à mot. il dispartait au profit d'un ya ي pour faire la liaison avec le suffixe هِمْ "him" source : langues-rares.fr, cours d'arabe literraire ludique leçon 2, lien vers la page du site
point grammaire : Principe actif / Sens verbal de la racine : Etre jaloux, envier, jalouser / Idée de changement, de différence, d'altérité, d'aller vers l'autre Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Racine : غ ي ر / gh y r غَيْر ( اسم ): - الغَير ghayra ( nom) : - al ghayr - autrui - autrui - les autres en général غَيْر ( اسم ): - سِوَى ghayra ( nom) : - siwaa - excepté, à l'exception de,hormis - hormis - hors - en dehors de , excepté غَيْر ( اسم ): - سَابِقَة بِمَعْنَى غَيْر نَفْي ghayra ( nom) : - prefix avec sens non negatif. - ir- - il- - im- - in- - privé de. غَيَّرَ ( فعل ): - بَدَّلَ , عَدَّلَ , حَوَّلَ ghayyara ( verbe) : alterer, transformer - apporter des modifications - métamorphoser - changer, transformer - remanier - modifier la composition de - transformer - rendre qqch différent ; faire changer d'état Source : almaany.com, lien vers la page du site v. غَيَّرَ ghayyara : varier, métamorphoser, remanier, transformer تَغَيَّرَ taghayyara: varier, changer غايَرَ ghaayara: différer, se distinguer de quelqu'un / faire un échange avec quelqu'un n. غِيرَة ghiyrat : envie, jalousie / magnanimité, vaillance / prix du sang / provisions, vivres غَيْرَة ghayrat : jalousie d'une personne envers son aimé غَيْرِيّ ghayriyy : altruiste, philanthrope غَيْرِيَّة ghayriyyat : altruisme, charité, allocentrisme / altérité مُغِير moughiyr : attaquant, envahissant, envahisseur تَغَيُّر taghayyour : changement, caprice, inconstance, instabilité, modification, mutation, revirement, transition, variation, variations, avatar, chambardement, mutabilité, péripétie, versatilité, chavirement, mobilité, oscillation, transformation, conversion, métamorphose, fluidité تَغَيُّرِيَّة taghayyouriyyat : variabilité غِيَار gayaar : échange, permutation adj. / adv. غَيْرَان ghayraan : jaloux مُغِير moughiyr : attaquant, envahissant, envahisseur مُغَيَّر moughiyyar : changé, modifié, remplacé, transformé prép. غَيْر ghayr : excepté, hormis, ôté, sauf, fors / exprime le changement, la variation, la différence / autre, différent expr. لَيْسَ غَيْر lysa ghayr : il n'y a pas autre chose مِنْ غَيْر min ghayri : sans غَيْرَ أَنَّ ghayri 'nna : néanmoins, par contre, cependant, excepté que Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 7.
point grammaire : ال/ El signifie en français le/la/les. c'est l'article definie uniqe en arabe. le i de la fin marque le cas indiect systematique après une prepositin comme غَيْرِ /ghaïri /non pas . le مَ /ma apres l'article ال/ El est une suffixe signifiant ceux de, celui de, celle de ect.. Racine : غ ض ب / gh ḍ b v. غَضِبَ ghaḍiba : s'irriter, s'emporter, se fâcher contre quelqu'un / défendre, protéger quelqu'un أَغْضَبَ 'aghḍaba : exciter, fâcher, révolter, irriter تَغَضَّبَ taghaḍaba : s'irriter, se mettre en colère contre quelqu'un n. غَضَب ghaḍaba : colère, emportement, courroux, grigne, irritation مَغْضُوب maghḍououb : exécration adj. / adv. غَضِب ghzḍib : fâché, furieux, en colère غَضْبان ghaḍbaan : fâché, furieux, en colère غاضِب ghaaḍib : remonté, fâché غَضُوب ghaḍououb : coléreux, emporté, irascible, rageur مُغْضِب moughḍib : fâcheux, contrariant, exaspérant, irritant, enrageant, râlant, révoltant, vexant مُغْضَب moughḍib : courroucé, exaspéré, fâché مَغْضُوب maghḍououb : détesté Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 7.
point grammaire : non, particule de negation. Retour vers le verset 7.
point grammaire : il n'y a pas de particules il est donc indefini. le ine ين de la fin est la marque du pluriel. Racine : ḍ l l v. ضَلَّ ḍall : détourner, s'égarer, se désorienter / se tromper de route, se dérouter, faire fausse route / perdre quelque chose / oublier, perdre le souvenir de quelque chose / disparaître, mourir, périr / se gâter, pourrir ضَلَّلَ ḍallala : dérouter, désorienter, fourvoyer / décevoir, duper, finasser, illusionner, mystifier, tromper, arnaquer, tricher أَضَلَّ 'aḍall : dérouter, désorienter, dévoyer, égarer, fourvoyer n. ضَلّ / ضَلَل ḍall/ dalal : égarement, aberration ضَلاَل ḍalaal : aberrance, aveuglement, égarement, fourvoiement, déviation ضَلاَلَة ḍalaalat : aberrance, aveuglement, égarement, fourvoiement, déviation تَضْلِيل taḍliyl : duperie, imposture, tromperie أُضْلُولَة 'aḍloulat : égarement, erreur adj. / adv. ضالّ ḍaall : aberrant, dévoyé, égaré, errant, perverti مُضِلّ mouḍill : trompeur / séducteur مُضَلَّل mouḍallal : trompé, séduit Source : coran-seul.com, lien vers la page du site Retour vers le verset 7.